Que faire quand on est malade ?

 » Etre malade pourrait presque être une partie de plaisir, jusqu’à ce que l’on n’habite plus avec sa mère « 

C’est dans ces moments où l’on voudrait bien avoir sa petite maman près de soi. C’est vrai que les mamans ont ce truc qui fait que, rien que de se sentir dorloté, on est déjà à moitié guéri.

Bon. Que fait-on alors quand maman est loin et qu’on est malade ?

On prépare son « coin » de repos et de combat contre le méchant virus

  • on garde à portée de main : un thermomètre pour prendre sa température (que l’on désinfectera après chaque utilisation – s’il s’agit d’un thermomètre buccal), une boîte de kleenex, une petite poubelle provisoire, une bouteille d’eau, les médicaments, un verre ou une tasse.

On s’entoure de douceur : c’est le moment de la « cocooning therapy »

  • je me love dans mon pyjama ou dans des vêtements ultra confortables.
  • je prends des bains ou des douches tièdes/chaudes… tous les jours (ben, il paraît qu’il y a des personnes qui restent plusieurs jours au lit sans aller se doucher ou se changer :s). Oui. Même lorsque la fièvre nous tient par 39.5 °C, que l’on est frigorifiée juste à l’idée de sortir du lit ou que plonger sous la douche nous donne l’impression de se jeter dans un lac gelé, on y va ! Même s’il faut grelotter entre le moment où l’on se déshabille et le moment où l’eau va couler sur la peau : hop, hop, hop ! Je suis une warrior !
  • je dors…autant que mon corps le demande. Je ne fais d’ailleurs que suivre ce que le docteur m’a dit : « Reposez-vous ! »
  • je bois, bois, bois….de l’eau, des tisanes, du thé, des infusions. Lorsque l’on a une grosse toux, les infusions de thym (même si elles n’ont pas très bon goût) ou de mélanges de plantes, comme la tisane Calme Toux – Les Jardins de Gaia font du bien. Sans oublier le miel, bien sûr.
  • je mange ce qu’il m’est agréable au palais et au moral…enfin, si je n’ai pas la gastro. Youpi ! plus d’excuses pour ne pas entamer cette tablette de chocolat qui me fait les yeux doux depuis quelques jours. Je redécouvre aussi le plaisir des soupes. Pas la force de cuisiner ? (déjà qu’on ne sait pas faire grand chose, ce n’est certainement pas malade que l’on va faire un excès de zèle et se mettre aux fourneaux, hein ?) Que faire alors ? On (r)appelle Monsieur Picard, pardi ! Et ça tombe bien, il livre à domicile. Des recettes sympas, des soupes, des purées (essayez celle au butternut, marron et cranberry, et vous me direz. Cela étant dit, je souhaite préciser que je ne fais pas l’apologie des plats déjà cuisinés, n’étant ni fan, ni grande consommatrice de ce genre d’alimentation. Mais dans certains cas, il faut dire que cette solution est bien pratique, surtout lorsque l’on vit seul.e).
  • on ne fait plus qu’un avec son plaid, son doudou (pas la peine de nier, on sait que vous en avez un), son coussin, son sweat-shirt à capuche favori.

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